En décembre de l’année dernière, la chaîne Youtube de Professeur Feuillage, une chaîne écolo qui traite ce sujet avec un humour: un peu trash, un peu cul et qui ne se prends pas trop au sérieux.
Pour une fois, ils ont souhaité traiter d’un sujet, de façon plus sérieuse, concernant internet, sa pollution et comment avoir une conduite moins polluante et plus vertueuse sur internet.
Pour cet article, je ne ferai que résumer certains points, mais je vous enjoins vivement à regarder les différentes vidéos que je mettrais en lien dans l’article. Même si elles ne sont pas forcément toujours positives, le but est de pointer du doigt le problème, de montrer les différentes problématiques soulevées et de proposer des pistes d’évolution, dans le bon sens. Je compte également traiter la recherche sur internet de manière approfondie, plus tard.
Cette série de reportage s’inscrit dans la suite d’un voyage organisé par Ecosia (moteur de recherche éthique qui plante des arbres avec 80% de ses bénéfices) avec des influenceurs du web pour les sensibiliser à la problématique de la pollution d’internet, de leur part dans ce domaine et de montrer concrètement ce que fait le moteur de recherche. Ce voyage a donné lieu à des vidéos de ceux-ci sur leur chaîne depuis (même si celle-ci n’a aucun rapport avec l’écologie).
Professeur Feuillage a donc fait une série de 4 vidéos sur le Green web avec les participants de ce voyage (sauf un qui ne pouvait être présent) pour faire le bilan des mois ayant suivi leur périple
#1: Présentation de la pollution d’internet:
Dans cette vidéo, on découvre l’introduction du sujet et une présentation très rapide notamment des moteurs de recherche alternatifs à Google (que je compte développer dans un dossier, sous peu)
#2: Comment devenir un green surfer:
Dans cet épisode, on nous présente rapidement Ecosia, fait un premier bilan x mois après, notamment sur l’influence qu’à eu ce voyage sur les youtubeurs. Un quiz entre eux est fait sur le thème, où on apprends notamment que:
- les boxs internet consomment 1% de l’électricité française (soit ½ réacteur nucléaire)
- que le streaming correspond à 58% de la consommation, dont 15% rien que pour Netflix
- on peut réduire son poids sur internet en: supprimant ses anciens contenus, stockant les éléments chez soi (cloud maison) ou via des cloud éthiques – pour un mailing responsable: en supprimant les spams, refusant les newsletters, supprimant les signatures avec images, enlevant les pièces jointes, limitant les copies des mails – regardant les vidéos en plus basse définition (ce qui permet de diviser par 4 à 10, sa consommation) – pour les recherches, en allant directement sur le site, si on en connait l’adresse, étant plus précis dans sa recherche (ce qui permettrait d’économiser 5 kg/personne/an de CO2), en installant un moteur de recherche éthique.
avec notamment www.ecosia.org , www.lilo.org , https://ecogine.org
#3: Ce que font (ou pas) les géants du net:
Où est abordée la finitude du monde et donc, d’internet.
De l’écologie qui est vu comme un investissement rentable.
De la pollution cachée des énergies renouvelables et autre greenwashing
#4: Le web du futur
Où on parle de la théorie de l’effondrement et de la survie d’internet
des solutions?
et de l’économie symbiotique
Cet article est un premier pas pour connaître internet, sa pollution et les moyens pour la réduire. Je compte vous exposer le cas des moteurs de recherche dans un dossier à suivre très rapidement, où je traiterais des moteurs éthiques (et pas seulement écolos).